mardi 10 février 2009

La paresse

'Savez, moi, dans la vie, j'ai parfois tendance à être stressée. À mal gérer mon temps, surtout. À être follement angoissée les 5 dernières minutes qui précèdent un évènement important.

Ça m'a valu des bleus (parce que je ne fais plus attention à ce que je fais), des tablettes entières de chocolat ingurgitées à toute vitesse, des appels hystériques à ma mère, des nuits d'insomnie incroyables... et, sauf pour l'insomnie, ce n'est pas réglé du tout.

Le principal problème, c'est que je procrastine comme une maniaque. Je pars à 7h57 pour mon cours de 8h00. Je fais à 11h45 un travail qui doit être remis à midi. Je me couche à minuit et demi parce que je suis trop paresseuse pour aller jusqu'à mon lit. C'est maladif, parfois.

Pis en plus, j'accepte tout. Tout, tout, tout. Je me dis que je peux tout faire : socialement, amoureusement, académiquement et professionnellement. À date, c'est l'académique qui en pâtit un peu. Oh, rien de bien grave, après tout, on est en début de session et mes mini-évaluations ont donné des résultats plutôt concluants. Sauf que bientôt, lorsque je serai dans le rush, lorsque je devrai étudier réellement, ça va faire mal.

Je vais apprendre à gérer mon temps. À utiliser mon agenda. À me fixer des soirs pour faire mes travaux.

Pis surtout, à ne pas faire de crise de nerfs d'ici la fin de la session.

Courage!

1 commentaire:

Anonymous a dit…

Babababa, on se dit tous ça un jour, mais quand vient le temps d'être sérieux et de s'y mettre, on le fait jamais. La paresse empire dans ces circonstances-là.

Parole d'un professionnel expérimenté en paresse-turbo.

Et c'est signé : Bennyminou.