mardi 23 septembre 2008

Thanks for the memories

Je t'ai fait une presque déclaration d'amour. C'était soudain, un peu troublant, pour quelqu'un qui n'avait pas suivi tout le déroulement qui a eu lieu dans ma tête. Pourtant, j'ai cru que tu comprendrais.

Je ne veux pas que tu répondes à ça, parce que je veux ne même pas le savoir, au fond. Je fais juste te le dire.

Dans 3 ans, peut-être 5, quand on aura tous les deux tout fini, je vais te sauter dessus. Je me fouts que tu en aimes une autre, G., je vais la tasser assez vite, rendu là. En attendant, profites-en, mais si tu viens ici, je m'attends à ce que tu me fasses signe.

Bonne soirée.


J'ai vraiment cru que tu comprendrais ce que je voulais te dire. À la limite, je me suis même imaginé que tu avais même vécu le même processus mental et émotionnel, dans les dernières semaines.

What the fuck?

Non, définitivement, je me suis fait avoir à
quelque part dans cette histoire. Et pas juste un peu, à part de ça.

Laisse faire.

Oui, laisse faire. Ne t'en occupe plus. Enfin, mes dysfonctions amoureuses étaient pansées ; mais on n'est toujours pas dans les bons temps, il faut croire. On devrait se chronométrer, la prochaine fois, pour être sûrs que nos excès d'amour ont lieu même temps.

Ça fait 3 ans que ça dure, il fallait bien que ça ait une fin un jour.

Mais... est-ce vraiment fini?

En tout cas, je ne descendrai pas à Jonquière en fin de semaine, comme je voulais le faire hier, alors que j'étais sur le coup de l'émotion. Surtout s'il y a une possibilité que tu aimes une autre fille.

Je vais jouer la lâche, peut-être. Te balancer quelques vérités en plein... clavier, et te bloquer ensuite. Ou peut-être pas. Je vais peut-être simplement m'abstenir de faire quoi que ce soit, aussi. Oui, ce sera sûrement ça.

Qu'est-ce qui se passe dans ma tête, bon sang?

1 commentaire:

Audrey-Ann a dit…

C'est triste :(