lundi 6 octobre 2008

Pas de titre.

Tu es con et je t'aime.

Pis je sais franchement pas comment tu fais pour m'attiser tous les jours un peu plus, alors que tu ne fais rien du tout.

Je me suis relue. Je t'ai relu. Pis je comprends pas comment on en est arrivé là.

Il faudrait que ça finisse. Le problème, le vrai, c'est que ce n'est pas terminé du tout. Pis tu peux pas dire le contraire.

I'm sittin' here tryin' to convince myself
That you're not the one for me
But the more I think, the less I believe it
And the more I want you here with me
Plain White T's - A Lonely September

C'est quétaine. C'est immensément quétaine.

Plus ça va, moins je me comprends.

Si je ne te connaissais pas autant, si tu n'étais pas mon beurre de peanut sur mes bananes, mon glaçage au fromage philadelphia sur mon gâteau aux carottes, mon hummus sur mes piments... ça ferait longtemps que j'aurais abandonné ce rêve.

Sauf qu'il y a quelque chose en moi qui résiste.

...

Ah oui? Ben fuck off. Je vais continuer à rêver, sauf que là, je ne me battrai plus.

Le triomphe de la raison.

2 commentaires:

SAndrine a dit…

Ça, je comprends. C'est vraiment difficile d'essayer de ne plus aimer quelqu'un qu'on voit dans sa souper.

On a beau se convaincre qu'on a réussi, dès qu'on le revoit, on fait une rechute.

Personnellement, ça fait presque 2 ans que ça dure. Les autres ont beau dire de laisser faire, je sais qu'à quelque part, il y a de l'espoir.

Alice a dit…

Moi aussi, ça fait deux ans que ça dure. 2 ans et un quart, en fait. Pis j'ai beau dire que j'ai fini de perdre mon temps...

Je sais que si je le revoyais demain, je perdrais le plus de temps possible.